L’animatrice de Wozo Vacance Tata Nahomi, accusée d’avoir divorcé avec son époux pour une image banale, l’animatrice dit sa part de vérité.
Représenter une personnalité publique, une célébrité n’est pas une chose facile à vivre. L’animatrice de Wozo Vacance et de la RTI, Naomie Alafé a sûrement déjà fait les frais il y a quelques années lorsqu’elle fut aperçue en pleine marche dans les rues de Cocody.
Il semble que l’animatrice Tata Naomie ne soit pas finalement au bout de ses peines avec le public.
Confrontée à une polémique banale, l’animatrice était dans l’obligation de faire un post pour laver son image, sur son compte Facebook, pour une mise au point après qu’une photo la présentant sur la poitrine d’un autre homme et qui a fait beaucoup de bruits sur les réseaux sociaux.
Certains internautes sans moindre preuve ont même avancé l’hypothèse d’un éventuel divorce de l’animatrice avec son époux Alafé, face à une telle accusation qui dégrade énormément l’image du couple, Tata Nahomi a répondu intelligemment à ses détracteurs :
« Salut la famille, Malheureusement, je suis envahie depuis hier soir de messages et d’appels pour me consoler d’un quelconque divorce d’avec l’amour de ma vie Wakili Alafé et pour me souhaiter bonne chance avec mon nouveau compagnon. Je suis et reste Mme ALAFÉ par la Grâce de Dieu depuis 13 ans…’’. L’image de l’homme sur la photo serait son collègue de la RTI depuis de nombreuses années et la photo aurait été prise juste après une émission ; ce n’était donc qu’une accolade d’amitié et rien d’autre. » s’étonne l’animatrice qui poursuit son indignation en expliquant que la personne sur la photo est juste un collègue.
« Le monsieur sur l’image est mon collègue et frère depuis plus de Dix (10) ans. S’il vous plaît, arrêtez de voir le mal partout. Le mariage n’est pas la finalité de la vie. Après un mariage, on ne renie pas ses amis et ses parents. Pour ceux qui me connaissent vraiment, je n’ai pas changé mes relations, ni mes habitudes malgré la petite notoriété que Dieu m’accorde pour l’instant…» a t’elle conclu
Cette mise en garde sonne comme un avertissement auprès des mauvaises langues qui déforment la vérité aux yeux de tous.
